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Actualités

Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Mon corps, mon choix ? Le cas de l’hystérectomie »
16 janvier 2024 de 14h00 à 17h00
Ined
9 cours des Humanités – Aubervilliers
Salle 1080
En présentiel et en distanciel

Andréa Becker, postdoctoral researcher à l’University of California San Fransisco, et Clara Comeau, masterante à l’EHESS, présenteront leurs travaux.

Pour assister au séminaire, en présentiel ou en distanciel, merci de vous inscrire en suivant ce lien, ou bien par mail à contraception.genre@gmail.com.

Plus d’infos ici.


Annonce de soutenance

Pauline Mortas soutiendra sa thèse, intitulée « “Articles intimes pour dames et messieurs“. Une histoire du marché lié à la sexualité (France, années 1880-années 1930) », le jeudi 7 décembre 2023 à 14h à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (salle J.-B. Duroselle, accès par le 14 rue Cujas). Un résumé est disponible ici.

Le jury est composé de :
– Mme Anaïs Albert, maîtresse de conférences à l’université Paris-Cité
– M. Fabrice Cahen, chargé de recherches à l’Institut National d’Études Démographiques
– Mme Sylvie Chaperon, professeure des universités à l’Université Toulouse Jean-Jaurès (co-directrice de thèse)
– Mme Delphine Gardey, professeure ordinaire à l’Université de Genève
– M. Arnaud-Dominique Houte, professeur des universités à Sorbonne Université
– Mme Anne Rasmussen, directrice d’études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (directrice de thèse)

Si vous souhaitez assister à la soutenance, merci de remplir ce formulaire.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« La contraception dite masculine, un travail visible et reconnu ? »
19 octobre 2023 de 14h00 à 17h00
Ined
9 cours des Humanités – Aubervilliers
Salle Sauvy
En présentiel et en distanciel

Elise Charron, masterante à Aix-Marseille Université, et Lola Tribout, candidate au doctorat en sciences politiques et sociales à l’Université de Liège, présenteront leurs travaux.

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« Le rôle des hommes dans le processus d’avortement »

8 juin 2022 de 14h00 à 17h00
Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle R19
En présentiel et en distanciel

Joe Strong, PhD Candidate au London School of Economics and Political Science, et Léa Terzibachian, masterante à l’EUR Gender and sexuality studies (GSST) EHESS-Ined, présenteront leurs travaux.

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Nouvelle publication

Leslie Fonquerne, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, est lauréate du 1er Prix d’article « Jeunes Chercheurs » CNAF pour l’article « La pilule en héritage. Transmissions historiques et matrilinéaires » dans la Revue des Politiques Sociales et Familiales. L’article est disponible ici.

Résumé : Les mères endossent le rôle de garantes de la santé de la famille et apparaissent, pour leurs filles, comme des initiatrices significatives aux domaines gynécologique et contraceptif. Cet article interroge la place des mères dans les parcours contraceptifs et gynécologiques des jeunes femmes et ce que cela traduit en termes de normes médicales et de genre. Le premier rendez-vous gynécologique, souvent motivé par une première prescription de pilule chez la ou le médecin de famille, relève d’un rite de passage pour les filles et de passation pour les mères. Pourtant, mères et filles sont dans des temporalités biographiques distinctes et le modèle médical des unes ne convient pas nécessairement aux autres. Oscillant entre soutien et intrusion, l’implication des mères témoigne du caractère perpétuellement féminisé de la gestion pratique et éducative de la contraception.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« L´avortement médicamenteux : perspective internationale »

24 janvier 2022 de 14h00 à 17h00
Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle Sauvy
En présentiel et en distanciel

Marie Mathieu, en post-doctorat au Cermes3 et chercheuse associée au Cresppa-CSU, et Gabriela Del Salto, doctorante à l’Université Paris Nanterre, présenteront leurs travaux.

Pour assister au séminaire, en présentiel ou en distanciel, merci de vous inscrire en suivant ce lien, ou bien par mail à contraception.genre@gmail.com

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Nouvelle publication

Leslie Fonquerne, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « ‘’Qu’elles se fassent un rappel avec leur téléphone !’’ Entre émancipation et coercition, une prise de pilules 2.0 », dans la revue Socio-anthropologie. L’article est disponible ici.

Résumé : L’usage de pilules contraceptives nécessite une observance quotidienne, garante de l’efficacité de la méthode. Face à cette compétence attendue, les femmes recourent à des outils numériques (alarmes téléphoniques, applications de suivi menstruel) afin de ne pas oublier d’ingérer les comprimés. L’objectif de cet article est d’interroger l’ambiguïté des usages de ces technologies : pouvant soulager une « charge mentale » induite par une gestion contraceptive féminisée, mais renforçant un autocontrôle genré. Issu d’une recherche doctorale en sociologie portant sur les prescriptions et les usages de contraception orale dans un contexte marqué par la « crise de la pilule », cet article se base sur plus de soixante-dix entretiens menés auprès d’usagères de pilules, de leurs partenaires, de professionnel·le·s de santé et sur près de cent consultations gynécologiques observées. Sous couvert d’une promesse d’une gestion contraceptive facilitée, ces applications prolongent finalement des normes médicales et de genre.


Nouvelles publications

Rosanna Sestito, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article « Independent Homebirth Midwives in France: The Persecution of a Profession », Medical Anthropology, et participé à la publication d’un ouvrage, Coronial. Antropologia della riproduzione e delle sessualità al tempo del Covid-19, avec Lucia Gentile et Chiara Quagliariello.

Résumé de l’article « Independent Homebirth Midwives in France: The Persecution of a Profession », Medical Anthropology : En France, bien que la majorité des naissances se déroulent à l’hôpital, certaines femmes préfèrent accoucher à domicile avec l’assistance d’une sage-femme. Ces dernières années, huit sages-femmes ayant participé à des accouchements à domicile ont eu leur licence d’exercice révoquée par le Conseil national des sages-femmes. Cet article analyse les plaintes qui ont mené à la révocation à vie de la licence d’exercice de sept sages-femmes, leur réflexion sur les raisons de leur interdiction d’exercice, et leurs perspectives sur la technologisation de la naissance. Le but est de comprendre les raisons pour lesquelles certaines sages-femmes indépendantes continuent de participer à des naissances à domicile sans assurance, en s’exposant à une interdiction d’exercice ou même à des poursuites judiciaires.

Résumé de l’ouvrage Coronial. Antropologia della riproduzione e delle sessualità al tempo del Covid-19 : L’ouvrage explore de quelle manière les différents champs de la santé sexuelle et reproductive ont été impactés, redéfinis, affaiblis par la pandémie de Covid-19 en Italie et comment cela a mis en évidence et augmenté les inégalités de genre et d’autres formes d’inégalités (régionales, socio-économiques, liées à l’âge, à la présence de handicap et au parcours migratoire). Les contributions rassemblées dans le texte soulignent, à cet égard, les nombreux effets négatifs que la pandémie a produit sur les parcours de santé sexuelle et reproductive en particulier des groupes socialement défavorisés et marginalisés. Ce qui ressort c’est le besoin, urgent, de développer des programmes de santé plus inclusifs à tous les niveaux. En même temps, du côté des mouvements sociaux, des associations et des citoyen.ne.s, les actions de solidarité et de soutien pour l’accès aux services de santé sexuelle et reproductive qui ont émergé en cette période de crise sanitaire représentent une occasion pour promouvoir d’autres paradigmes de soins et de traitements, au-delà du modèle médico-hospitalier présent aujourd’hui dans ce pays.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Restrictions légales à l’avortement : quelles conséquences ? Les cas de la France et des Etats-Unis »

14 octobre 2022 de 14h00 à 17h00
Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle R19
En présentiel et en distanciel

Danielle Bessett, Professor at the University of Cincinnati, et Justine Chaput, doctorante à l’Université Paris 1, présenteront leurs travaux.

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Nouvelles publications

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Aurore Koechlin et Alexandra Roux, membres du laboratoire junior Contraception&Genre, ont publié des ouvrages tirés de leur travail de thèse :

Koechlin Aurore, 2022, La norme gynécologique. Ce que la médecine fait au corps des femmes, Paris, France, Éditions Amsterdam, 305 p. Voir notamment son entretien du 7 octobre 2022 au podcast l’Anticapitaliste qui reprend les principales thématiques du livre, et son article paru le 12 septembre dans Le Monde, « La consultation gynécologique est un espace fondamentalement ambigu pour les femmes ».

Roux Alexandra, 2022, Pilule : défaire l’évidence, Paris, France, MSH, 246 p. Voir notamment son entretien du 13 octobre dans l’émission Sans oser le demander, sur France culture : « Contraception : qui a fait passer la pilule ? ».


Nouvelle publication

Cécile Thomé, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « Quand la sortie de la norme médicale interroge les normes intimes : l’exemple du coït interrompu », dans Sciences sociales et santé. L’article est disponible ici.

Résumé : En France, la pratique du coït interrompu a été très peu interrogée par les travaux portant sur la contraception. Or, près de la moitié des individus y ont déjà eu recours au cours de leur vie. Cet article vise à renseigner les modalités de l’utilisation contemporaine du coït interrompu – ou retrait – et à interroger la manière dont cette pratique sortant de la norme médicale s’insère dans des normes intimes (de genre et sexuelles, en particulier) qu’elle peut recomposer. Il s’appuie sur un corpus de 54 entretiens sur la vie contraceptive et sexuelle, ainsi que sur les enquêtes Fecond 2010 et 2013 (Inserm/Ined). L’article montre que le recours au retrait peut résulter soit d’une impossibilité d’avoir recours à une contraception médicale, soit d’un choix visant à éviter une telle contraception, par exemple suite à des effets secondaires imputés aux hormones de synthèse. Il peut également être plébiscité pour permettre une meilleure répartition du travail contraceptif au sein du couple. L’article met en évidence que, lorsque la méthode est utilisée, elle implique une technique sexuelle qui peut être considérée comme constitutive de la masculinité, mais aussi qu’elle s’insère dans un « script sexuel » qu’elle vient perturber. C’est finalement le fait de réussir à obtenir du plaisir avec cette méthode qui explique la persistance ou non de son utilisation. Ainsi, l’article met en lumière la nécessité de dépasser une analyse qui serait seulement médicale de cette pratique, au profit d’une attention aux normes intimes qui l’entourent et qu’elle met en jeu pour les individus.


Médias

Leslie Fonquerne, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, est récemment intervenue dans trois podcasts :

  • Les Chercheur.e.s, par Hélène Bely, diffusé le 26 septembre 2022 ;
  • Les Femmes Sages « Inégalités en contraception », par Géraldine Grenet, diffusé le 08 juin 2022 ;
  • Au crible de la science « Santé : la contraception est-elle une affaire de genre ? » avec la gynécologue Danielle Hassoun, par Valérie Ravinet et Catherine Theves, diffusé le 30 mai 2022.

Nouvelle publication

Cécile Thomé, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « Les “méthodes naturelles” de contraception. La construction d’une pratique entre normes de classe et reproduction de genre », dans les Cahiers du Genre. L’article est disponible ici.

Résumé : Bien que très peu pratiquées, les méthodes de contraception dites « naturelles » suscitent aujourd’hui un intérêt encouragé par les associations les promouvant. Cet article examine le recours contemporain à ces méthodes à partir d’entretiens avec des utilisatrices et en s’appuyant sur l’ethnographie en ligne de sites et forums qui leur sont consacrés. L’examen de leur histoire et de leur implantation dans l’espace social montre que la « nature » qu’elles promettent est en fait réservée à certaines femmes. L’étude de leur place dans le paysage contraceptif français, où elles répondent à une volonté plus générale de certaines femmes de « se libérer des hormones » et de mieux se connaître, mais aussi d’améliorer la répartition de la charge contraceptive dans le couple hétérosexuel, témoigne que cette pratique est très axée sur l’essentialisation du corps féminin et de rôles de genre selon lesquels la femme reste assignée au travail procréatif.


Médias

Mireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, est intervenue dans  l’émission de France culture « Entendez-vous l’éco ? », le 31 mai 2022 sur le thème « Le prix de la santé des femmes ». L’émission est à réécouter ici


Journée d’étude

affiche_SSRcrisesLes membres du laboratoire junior Contraception&Genre vous convie à leur journée d’étude

« Santé sexuelle et reproductive face aux crises : perspectives internationales »

qui aura lieu le mardi 14 juin 2022 de 8h30 à 17h00 sur le site du Campus Condorcet.

Infos et programme ici.


Nouvelle publication

Leslie Fonquerne, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « ‘C’est pas la pilule qui ouvre la porte du frigo !’ Violences médicales et gynécologiques en consultation de contraception », dans la revue Santé Publique.

L’usage de contraception orale nécessite un suivi médical régulier exposant d’autant plus les usagères à un risque de violences médicales et gynécologiques, dont l’absence de consentement constitue le nœud. L’étude de cas d’une consultation gynécologique et l’analyse des entretiens et des observations mettent au jour diverses formes de violences médicales, favorisant la dépendance des patientes au corps médical. L’imbrication des différentes formes de violences médicales et gynécologiques invite à les envisager au sein d’un continuum des violences de genre.

L’article est disponible ici.


Nouvelle vidéo

Tania Louis décortique dans une vidéo pour Monde sociaux l’article de Cécile Thomé et Mylène Rouzaud-Cornabas « Comment ne pas faire d’enfants » paru dans la Revue Recherches sociologiques et anthropologiques en 2018.

Lien vers la vidéo ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Les oppositions médicales à l’avortement (1972-2022) »

7 avril 2022 de 14h00 à 17h00
Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle 1.080
En présentiel et en distanciel

Lucile Ruault, chargée de recherche CNRS-Cermes3, et Raphaël Perrin, doctorant à l’Université Paris 1, présenteront leurs travaux.

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Nouvelle publication

Leslie Fonquerne, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « Être (re)connue dans la pharmacie : délivrance d’une contraception « en crise » en France et contournement de l’autorité (para)médicale » dans le n°38 de la revue Enfances, Familles, Générations.

Centré sur un moment particulier et peu étudié du « travail contraceptif » qu’est l’achat de contraception orale, l’article analyse les interactions entre usagères et personnel de pharmacie, notamment en cas d’ordonnance défaillante (dépassée ou absente). Les logiques non médicales des pharmaciennes et vendeuses en pharmacie, ainsi que les stratégies des jeunes femmes et le rôle des mères sont également mis·es au jour.

L’article est disponible ici.


Nouvelle publication

Mireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, Mylène Rouzaud-Cornabas et Cécile Ventola, toutes deux anciennes membres du laboratoire junior Contraception&Genre, ont publié un article intitulé « Les hommes face à la contraception : entre norme contraceptive genrée et processus de distinction » dans la revue des Cahiers du Genre.

Dans cet article, les autrices analysent les pratiques contraceptives des hommes en France à partir des données de l’enquête Fecond 2013 (Inserm/Ined) que ce soit à travers l’usage d’un contraceptif par leur partenaire féminine (pilule, DIU, etc.) ou l’utilisation du préservatif, du retrait ou de l’abstinence périodique, méthode demandant une plus grande participation masculine au travail contraceptif. Les autrices montrent que le recours à la contraception des hommes en France est structuré autour de la norme contraceptive française déjà mise en évidence chez les femmes, et que cette norme est par ailleurs genrée. En prescrivant le passage du préservatif à la pilule lorsque la relation se stabilise, cette norme contraceptive prescrit également le passage d’une responsabilité a priori partagée entre les partenaires à une responsabilité exclusivement féminine de la contraception. « Ainsi, avant de davantage s’impliquer dans le travail contraceptif, les hommes doivent d’abord être en mesure de questionner, puis de défier cette norme contraceptive » (p. 177). L’étude de la défiance à cette norme contraceptive, à travers l’analyse du recours des hommes en relation stable au préservatif, au retrait et à l’abstinence périodique, interroge sur l’existence, à travers les usages contraceptifs, d’un processus de « distinction » permettant l’expression de modèles de masculinités différents.

L’article est disponible ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

Avec le soutien Du CRESPPA-GTM

« Les choix contraceptifs au prisme des rapports de sexe et de race »

23 novembre 2021 de 14h30 à 17h30
Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle 0.001
En présentiel et en distanciel

Mirian Carbajal, professeur à la Hautre Ecole de Travail Social de l’Université de Fribourg, et Nancy Nzeyimana Cyizere, doctorante au Certop et à l’Ined, présenteront leurs travaux.

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Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

Avec le soutien Du CRESPPA-GTM

« Racialisation et politiques publiques de contraception »

12 octobre 2021 de 14h à 17h
Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle 4.029
En présentiel et en distanciel

Myriam Paris, chercheuse associée au CESSP-CNRS, et Rosanna Sestito, doctorante à l’Université Paris-Nanterre, présenteront leurs travaux.

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Nouvelle publication

Mireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié avec d’autres collègues un article intitulé « Reasons for rejecting hormonal contraception in Western countries: a systematic review » dans la revue Social Science and Medicine.

Dans cet article, les autrices et auteur explorent, à travers une analyse systématique de la littérature scientifique publiés depuis 2010, les raisons conduisant les femmes et les hommes (en tant que partenaires des utilisatrices) à rejeter la contraception hormonale, dans une perspective de continuum allant de la plainte au choix de ne pas l’utiliser.
Huit arguments principaux sont apparus : les problèmes liés aux effets secondaires physiques ; l’altération de la santé mentale ; l’impact négatif sur la sexualité ; les préoccupations concernant la fécondité future ; l’invocation de la nature ; les préoccupations concernant les menstruations ; les peurs et l’anxiété ; et la délégitimation des effets secondaires des contraceptifs hormonaux.
Les résultats invitent à tenir compte des préférences des femmes en ce qui concerne l’utilisation d’hormones lors des consultations pour contraception afin de leur assurer une autonomie reproductive.

L’article est disponible ici.


Nouvelle publication

Cécile Thomé, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, et Marion Maudet ont publié un article intitulé « S’arranger avec l’Église ? Pluralités contraceptives chez les catholiques pratiquant·e·s en France » dans la revue Émulations. Revue de sciences sociales.

Résumé : En décembre 1967 est votée en France la loi Neuwirth, qui légalise l’utilisation de la contraception médicale. Or, à la surprise de la communauté catholique qui espérait qu’elle soit également autorisée par le magistère romain, paraît en 1968 l’encyclique Humanae Vitae, qui réaffirme l’opposition de l’Église à l’utilisation de ces méthodes médicales. La communauté catholique se divise alors entre une majorité de fidèles souhaitant pouvoir utiliser des méthodes contraceptives médicalisées et une fraction plus réduite participant au développement et au perfectionnement des méthodes d’auto-observation (MAO), seules méthodes autorisées par l’Église, et les utilisant. Cinquante ans plus tard, cet article a pour objectif d’expliquer les logiques contraceptives contemporaines des catholiques pratiquant·e·s et d’interroger l’étanchéité des positions à l’égard de la contraception, entre méthodes médicales et MAO, à partir de l’analyse d’une trentaine d’entretiens menés auprès de cette population. Il analyse la diversité des parcours contraceptifs et la pluralité des discours justifiant l’utilisation des méthodes médicales et non médicales, en montrant que la position de l’Église peut être mise à distance même par les catholiques pratiquant·e·s. Il resitue en particulier leurs choix en matière de contraception dans des représentations plus larges concernant le couple, le genre, la sexualité ou encore ce que serait la « nature », en mettant en évidence que le dogme religieux ne constitue qu’une justification parmi d’autres de pratiques diverses et pouvant évoluer au cours de la vie.

L’article est disponible ici.


Nouvelles publications

Nous signalons deux publications de synthèses dans la revue Médecine/sciences (revue de vulgarisation dans le domaine médical), par deux membres du laboratoire junior :

Mireille Le Guen a publié un article intitulé « Évolution des usages contraceptifs. Une pratique millénaire et deux révolutions », Médecine/sciences, vol. 37, n°6-7, juin-juillet 2021, p. 641-646.

L’article revient sur l’évolution des pratiques contraceptives à travers les siècles, et plus particulièrement sur les deux « révolutions contraceptives » qui ont marqué la démographie européenne au XVIIIe et au XXe siècles. Il revient notamment sur la « médicalisation » de la contraception au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, et sur ses conséquences en matière de partage de la responsabilité contraceptive.

Alexandra Roux a publié un article intitulé « Sociologie de la contraception en France », Médecine/sciences, vol. 37, n°6-7, juin-juillet 2021, p. 647-653

Cette publication propose une synthèse des travaux français en sciences sociales de la contraception ces vingt dernières années, selon quatre axes thématiques : sociologie de la demande contraceptive et des pratiques ; sociologie de l’offre contraceptive et de la prescription, la production ou la promotion de contraceptifs ; approches institutionnelles sur les systèmes contraceptifs ; inégalités sociales d’accès à la contraception.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Genre et marché contraceptif. Perspectives historiques comparées »

24 juin 2021 de 14h à 17h
Via Zoom

Claire Jones, Senior Lecturer en Histoire de la médecine à l’Université de Kent, et Pauline Mortas, doctorante à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, présenteront leurs travaux.

Pour obtenir le lien zoom, merci de vous inscrire en suivant ce lien, ou bien par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Nouvelle publication

Pauline Mortas, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « Aux origines de la contraception “naturelle” : la méthode Ogino » sur Retronews, le site de presse ancienne de la Bibliothèque nationale de France.

À partir de coupures de presse, elle retrace l’histoire des savoirs médicaux sur l’ovulation et le cycle féminin et montre l’émergence, dans les années 1930, d’une offre marchande de calendriers périodiques permettant de calculer sa date d’ovulation à des fins contraceptives. Elle s’intéresse aussi à la réception de cette méthode dans la société française de l’entre-deux-guerres, et notamment aux rapports ambigus qu’entretient l’Église catholique à cette méthode d’abstinence périodique. 

L’article est disponible ici.


Nouvelle publication

Pauline Mortas, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « “Forces viriles immédiatement retrouvées“. La fabrique des masculinités par les publicités contre l’impuissance dans la presse de la Troisième République » dans la revue Le Temps des Médias.

Elle y questionne le rôle de la publicité de presse dans la diffusion de modèles de masculinité des années 1870 aux années 1930. En se focalisant sur les annonces publicitaires contre l’impuissance masculine, l’article montre l’émergence d’un marché qui, tout en contribuant à la sexualisation de la masculinité, met en place des stratégies pour préserver l’honneur viril de ses clients. Les modèles de masculinité promus dans ces annonces se font le reflet des préoccupations politiques qui traversent la Troisième République, de l’affirmation de la domination coloniale aux luttes contre la dégénérescence et la dépopulation.

L’article est disponible ici.


Communication

Cécile Thomé, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a présenté les premiers résultats de sa recherche de post-doctorat (INED, UR 14) dans le cadre d’une communication intitulée « Entre ‘tout pilule’ et ‘sans hormones’. L’évolution des modalités du choix contraceptif des jeunes femmes en France », lors d’une séance des Lundis de l’INED, le 31 mai 2021, en distanciel (par Zoom).
Elle était discutée par Leslie Fonquerne, doctorante (CERTOP, Université Toulouse Jean Jaurès) et également membre du laboratoire junior.


Nouvelle publication

Pauline Mortas, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé “Une histoire des préservatifs sous la Troisième République” sur Retronews, le site de presse ancienne de la Bibliothèque nationale de France.

À partir de coupures de presse, elle retrace l’histoire matérielle et technique des préservatifs et s’intéresse à la manière dont les fabricants, à travers leurs annonces publicitaires, s’efforcent de séduire les client·e·s. Elle dépeint aussi la répression du  marché des préservatifs, d’abord au nom de la préservation des « bonnes mœurs », puis au nom de la lutte contre le néo-malthusianisme et la dépopulation. 

L’article est disponible ici.


Annonce

Parution du livre d’Elodie Serna « Opération vasectomie. Histoire intime et politique d’une contraception au masculin » aux éditions Libertalia.

Depuis un siècle, des hommes font le choix de la vasectomie. Louée pour ses prétendues vertus rajeunissantes par des médecins, prônée comme réponse à la question sociale par des eugénistes et des néomalthusiens, adoptée comme méthode de contraception clandestine par des anarchistes, la stérilisation masculine fait parler d’elle en Europe dès les années 1920. Grâce à la simplicité de sa technique, elle est envisagée après la Seconde
Guerre mondiale comme une solution face à la peur d’une explosion de la population mondiale. En France, elle demeure longtemps une pratique quasi exclusive des milieux libertaires avant d’entrer enfin dans les cabinets médicaux.
La contraception masculine – notamment la vasectomie – suscite un intérêt croissant. Elle interroge la relation des hommes à la virilité ainsi que le partage des responsabilités contraceptives.
Mais au-delà des questions de genre, réintégrer la vasectomie dans l’histoire et l’actualité de la contraception permet de décaler le regard sur les enjeux politiques de la procréation. Et de poser une question toute simple : alors les gars, quand est-ce que vous vous y mettez ?


Nouvelle publication

Mona Claro, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « Dénoncer les maltraitances gynécologiques en URSS : critique ordinaire des patientes et critique féministe (1979-1989) » dans la revue Diogène.

Si les concepts de « violences obstétricales » et de « maltraitances gynécologiques » ont émergé dans les années 2000-2010, les critiques qu’ils cristallisent ne sont pas nouvelles. Cet article aborde le cas de l’URSS des années 1980, injustement méconnu. Il analyse les témoignages et revendications d’un groupe de féministes dissidentes, ainsi que de milliers de femmes ordinaires auteures de lettres à la presse féminine officielle, qui ont revendiqué des avortements et des accouchements sans douleur, et un meilleur accès à la contraception.

L’article est disponible ici.


Nouvelle publication

Leslie Fonquerne, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « À qui faire avaler la pilule ? Pratiques de soin et inégalités en consultations de contraception » dans la revue Émulations – Revue de sciences sociales.

Centré sur les pratiques des professionnel·le·s de santé, cet article propose de rendre compte de l’impact de différentes approches de soin en matière d’inégalités d’accès à l’information et à la prescription de contraception et d’en saisir les spécificités selon les catégorisations de patientes qu’opèrent les praticien·ne·s.

L’article est disponible ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Juridictions européennes en matière de contraception et d’avortement »

8 février 2021 de 14h à 17h
Via Zoom

Lisa Carayon, maîtresse de conférences Université Sorbonne Paris Nord, et Eulalie Deneuville, doctorante à l’Université de Bordeaux, présenteront leurs travaux.

Pour obtenir le lien zoom, merci de vous inscrire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Médias

Cécile Thomé, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, est intervenue dans « La question du jour » des Matins de France culture, le 28 décembre 2020, sur le thème « Quels nouveaux combats pour la contraception ? ». L’émission est à réécouter ici


Nouvelle publication

Pauline Mortas, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé “Hot Stuff. Anatomy of the sex market at the dawn of the twentieth century” dans la revue French History.

L’article, fondé sur un riche dossier de procédure judiciaire pour outrage aux bonnes mœurs, souligne la formation d’un marché dédié à la sexualité dans le Paris du début du XXe siècle. Il examine l’anatomie et les caractéristiques de ce marché structuré autour de produits divers : livres et photographies érotiques, sextoys, remèdes contre l’impuissance sexuelle, contraceptifs et abortifs divers.

L’article est disponible ici ou sur simple demande auprès de l’auteure. Pour celles et ceux qui ne lisent pas l’anglais, vous pouvez retrouver une version préliminaire de cet article en français et en trois parties, sur Sexcursus, le carnet Hypothèses de l’auteure, en suivant ce lien.


Nouvelle publication

Mireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié, avec d’autres collègues, un article intitulé « La « crise des pilules » en France : les femmes ont-elles davantage consulté un·e gynécologue afin d’accéder plus facilement au DIU ? » dans la Revue d’Épidémiologie et de Santé Publique.

Dans cet article, les autrices mettent en évidence une augmentation du recours aux gynécologues suite à la crise des pilules survenue en France en 2012-2013 au détriment des médecins généralistes. En 2016, le recours aux sages-femmes pour la prescription de la contraception (compétence obtenue en 2009) restait relativement faible puisque seulement 5% des femmes se sont fait prescrire leur méthode par ces dernières. Ces évolutions ne semblent pas expliquer les changement observés de recours au différentes méthodes de contraception entre 2010 et 2016. En 2016, l’accès aux professionel·le·s de santé est toujours socialement différencié.
Les autrices concluent que, suite à la « crise des pilules » survenue en France en 2012, le choix de certaines femmes d’utiliser le DIU au détriment de la pilule les a conduites à changer de prescripteurs·trices, d’une part, et incité ces dernièr·e·s à modifier leurs pratiques prescriptives, d’autres part.

L’article disponible ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Contraception et pratiques éco-féministes »

26 novembre 2020 de 14h à 17h
Via Zoom

Mariana Rios Sandoval, en post-doctorat au Cermes3, et Aurore Koechlin, doctorante à Paris 1, présenteront leurs travaux.

Pour obtenir le lien zoom, merci de vous inscrire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Programme 2020-2021 des prochains séminaires

Le programme 2020-2021 des prochains séminaires du Laboratoire Junior Contraception&Genre est désormais disponible ici.
Au plaisir de vous retrouver tout au long de cette année universitaire !

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Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Des hommes et des contraceptions »

22 septembre 2020 de 14h30 à 17h30
Via Zoom

Mireille Le Guen, en post-doctorat à l’UCLouvain, et Cécile Thomé, en post-doctorat à l’Ined, présenteront leurs travaux. La discussion sera assurée par les membres de l’ARDECOM.

Pour obtenir le lien zoom, merci de vous inscrire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Les activités du Laboratoire Junior financées par le Campus Condorcet pour l’année 2020-2021

Les membres du Laboratoire Junior Contraception&Genre sont heureus·e·s d’annoncer que leur projet d’animation de la recherche a été retenu pour financement dans le cadre de l’appel à projet des ateliers Campus Condorcet 2020.

Ce projet intitulé « Institutionnalisation et remise en  cause des modèles contraceptifs » s’inscrit dans le cadre d’une coopération entre l’Ined (Valentine Becquet) et l’Université Paris Nanterre/CRESSPA-GTM (Carole Brugeilles), deux des 11 institutions membres du Campus Condorcet.

Institutionnalisation et remise en cause des modèles contraceptifs

Valentine BECQUET (Institut nationale des études démographiques) –  Carole BRUGEILLES (Université Paris Nanterre)

Pour la période 2020-2021, le Laboratoire Junior “Contraception&genre” mènera des activités croisant différents regards disciplinaires et méthodologiques autour de l’institutionnalisation et des remises en cause des modèles contraceptifs, dans divers contextes sociaux et aires géographiques. Il s’agira d’interroger plus particulièrement la place des hommes dans les usages contraceptifs, et la reconfiguration des pratiques en matière de contraception et d’avortement en contextes de crises sanitaires, économiques et politiques.

Le programme des séminaires 2020-2021 sera bientôt diffusé.


Nouvelle publication

Pauline Mortas, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a publié un article intitulé « Hot Stuff. Anatomy of the sex market at the dawn of the twentieth century » dans la revue French History.

Dans cet article, fondé sur un riche dossier de procédure judiciaire pour outrage aux bonnes mœurs, elle met en évidence la formation d’un marché consacré à la sexualité à Paris au début du XXe siècle. Elle examine l’anatomie et les caractéristiques de ce marché qui se structure autour de produits divers : livres et photographies érotiques, accessoires sexuels, remèdes contre l’impuissance et contraceptifs variés.

L’article est disponible ici ou sur demande auprès de l’autrice.  


Nouvelle publication

Mireille Le Guen et Mylène Rouzaud-Cornabas, toutes deux membres du laboratoire junior Contraception&Genre, ont publié, avec d’autres collègues, un article intitulé « The French pill scare and the reshaping of social inequalities in access to medical contraceptives » dans la revue SSM-Population Health.

Dans cet article, les autrices mettent en évidence une évolution socialement différenciée du recours aux différentes méthodes de contraception médicales (c’est à dire soumises a prescription) autour de la crise des pilules survenue en France en 2012-2013, qui est notamment marquée par une baisse du recours à ces méthodes chez les femmes de classes supérieure et populaire entre 2010 et 2016.

L’article disponible en accès libre ici.


Nouvelle publication

Rosanna Sestito, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a traduit de l’italien un article d’Eleonora Cirant paru dans Il fatto quotidiano sur le recours à l’IVG thérapeutique en Italie en pleine crise du coronavirus.

La version traduite de l’article ici.


Rosanna Sestito, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a rédigé une note sur l’accès à l’IVG en contexte de crise sanitaire

L’accès à l’IVG : un service essentiel même en contexte de crise sanitaire

Par Rosanna Sestito

La situation de crise sanitaire liée au Covid-19 que nous vivons actuellement a rendu difficile l’accès des femmes aux services d’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG), comme l’ont révélé nombre de groupes féministes de plusieurs pays d’Europe (Italie, France, Pologne, Irlande).

Au début de la crise du Covid-19, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) avait déclaré le recours à l’IVG comme « service essentiel », et ce même en contexte de crises, en rappelant à tous les États qu’il est important de continuer à garantir l’accès à l’IVG en toute sécurité durant la période de confinement. Lire plus…


Nouvelle publication

Valentine Becquet, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a co-rédigé avec ses collègues de l’Ined, Magali Mazuy, Elise de La Rochebrochar det Virginie Rozée, un article dans TheConversation intitulé « IVG, grossesse, accouchement : quand la crise sanitaire menace les droits des femmes ».
A lire ici.


MédiasvoxpopMireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, est intervenue dans l’émission d’Arte Vox pop sur la contraception masculine. L’émission est à voir à voir ici.


Partenariat

Mireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a participé au lancement du nouvel outil d’aide à la préparation de la consultation contraceptive de Santé publique France, qui est disponible ici.

outil


Les membres du Laboratoire Junior Contraception&Genre sont heureu·ses·x d’accueillir six nouvelles personnes :

Juliette Congy, épidémiologiste, doctorante à l’Ined
Eulalie Denueville, juriste, doctorante à l’Université de Bordeaux
Pauline Mortas, historienne, doctorante à Paris 1
Mariana Rios Sandoval, anthropologue, en post-doctorat au Cermes3
Salomé Rodrigues, sociologue, masterante à l’EHESS
Rosanna Sestito, sociologue, doctorante à l’Université de Lausanne

Nous leur souhaitons la bienvenue !


Le laboratoire junior Contraception&Genre suspend ses activités en soutien aux mobilisations contre la réforme des retraites et contre la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR).

Les laboratoire junior Contraception&Genre, majoritairement constitué de femmes précaires de l’enseignement supérieur et de la recherche, se mobilise contre les réformes à venir.
Notre engagement féministe ne saurait se satisfaire de ces deux projets qui pénalisent les femmes en général, et celles de l’enseignement supérieur et de la recherche en particulier.

    • En tant que jeunes chercheur·se·s, nos carrières professionnelles débutent (et se prolongent de plus en plus) par des CDD ou des bourses d’études entrecoupées de périodes de chômage. Cette situation, que nous dénonçons, nous expose défavorablement au système de retraite par points voulu par le gouvernement.
    • Par ailleurs, la forte compétitivité à laquelle nous faisons face pour obtenir postes et financements de recherche sera accentuée par la loi LPPR qui projette d’amplifier ce processus de sélection via l’évaluation des chercheur·se·s. Cette situation est délétère pour mener à bien des travaux de recherche collectifs qui permettent de faire dialoguer plusieurs disciplines et différentes approches théoriques.
    • Enfin, en tant que chercheur·se·s en sciences sociales travaillant sur la contraception, un champ de recherche peu porteur en termes d’innovation mercantile, nous ne saurions nous contenter de la généralisation des partenariats public-privés pour mener à bien nos recherches.

En conséquence, nous cessons l’ensemble de nos activités de recherche à destination du public, et ce jusqu’à nouvel ordre.
Si la suspension des activités du laboratoire junior Contraception&Genre reste symbolique, elle est toutefois nécessaire afin de libérer du temps pour la mobilisation. Nous réaffirmons également que seule la grève des cours et des évaluations permettra de mettre en place un rapport de force réel entre les personnel·le·s de l’enseignement supérieur et la recherche et le gouvernement pour obtenir le retrait de la réforme des retraites et de la LPPR.

Les membres du laboratoire junior Contraception&Genre


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Des hommes et des contraceptions »

Séminaire reporté en soutien aux mobilisations contre la reforme des retraites et la LPPR
4 février 2020 de 14h00 à 17h00

Ined
9, Cours des Humanités – Aubervilliers
salle R19 (RDC)

Mireille Le Guen, en post-doctorat à l’UCLouvain, et Cécile Thomé, ATER à Sciences Po Grenoble, présenteront leurs travaux. La discussion sera assurée par les membres de l’ARDECOM.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Intervention

Julie Ancian et Mireille Le Guen présenteront le laboratoire junior Contraception&Genre lors de la journée de présentation soutenus en 2017-2018 par la Cité du Genre

12 décembre 2019 de 15h à 18h30
salle 378F à la Halle aux Farines
Université de Paris (Paris 7 Diderot)


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Gestion de la fécondité en contexte d’illégalité »

28 novembre 2019 de 9h30 à 12h30
Université Paris Descartes
45, rue des Saints-Pères – Paris 5e
salle Avogadro F

Francis Akindes, professeur à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké et responsable de la Chaire Unesco de Bioéthique, et Valentine Becquet, chargée de recherche à l’Institut national d’études démographiques (Ined), présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Le laboratoire junior Contraception&Genre recrute !

Vous êtes masterant·e, doctorant·e, post-docorant·e ou jeune chercheur·se.
Vous travaillez sur des questions relatives à la contraception dans une perspective de genre.
Vous souhaitez échanger sur votre recherche avec d’autres personnes travaillant sur la contraception, dans une ambiance bienveillante.
Rejoignez le laboratoire junior Contraception&Genre !
Envoyez-nous un mail ici avant le 15 novembre 2019 en nous précisant votre statut (master, doc, post-doc,…) et votre sujet de recherche et nous vous recontacterons.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

Avec le soutien de la Cité du Genre

« Contraception en post-partum »

11 octobre 2019 de 14h00 à 17h00
Ined
133, boulevard Davout- Paris 20e
salle 111

Carole Brugeilles, professeure à l’université Paris 10 Nanterre, directrice adjointe du Cresppa, et Nicola Boydell, chercheuse au Usher Institute à l’Université d’Edimbourg, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Journée mondiale de la contraception

26Mireille Le Guen, membre du laboratoire junior Contraception&Genre, interviendra lors du colloque intitulé « Contraception et IVG : chercher le lien » organisé par la Fédération Laïque de Centres de Planning Familial de Belgique

Lieu : Charleroi
Date : 26 septembre 2019.

Titre de sa présentation : « Fécondité, contraception et avortement en France et en Belgique : approche socio-historique et enjeux contemporains

Programme et inscription.


Congrès de l’Association Française de Sociologie

aff_AFSLe huitième congrès de l’AFS (Association Française de Sociologie) se tiendra du 27 au 30 août à Aix-en-Provence. Toutes les informations et tarifs ici.

4 membres de notre Labo Junior présenteront leurs travaux au Congrès de l’AFS

Mardi 27 août, 16h30-18h30
Les écarts au corps « légitime » : le devoir de mère

    • Ancian Julie : Le néonaticide, un écart au devoir de la fécondité maîtrisée

Trajectoires professionnelles et luttes de classement

    • Koechlin Aurore : Les luttes de classement des professionnels de santé autour de la gynécologie médicale

Mercredi 28 août, 09h00-10h30
Numériser, chiffrer, déchiffrer les corps par les technologies (1)

Mercredi 28 août, 14h30-16h00
Semi-plénière «Non-catégories»

    • Thomé Cécile : De l’invention de l’hétérosexualité à son invisibilisation : retour sur une catégorie trop évidente pour être nommée

Congrès de l’Institut Du Genre

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Cinq ans après son premier Congrès qui s’est tenu en septembre 2014 à l’ENS Lyon, l’Institut du genre organise en 2019 son deuxième Congrès, en partenariat avec l’Université d’Angers, sur le thème : « Genre et émancipation ».

Le Congrès se déroulera à la Faculté de droit, d’économie et de gestion d’Angers, du 27 au 30 août 2019.

Vous pouvez dès maintenant vous inscrire au Congrès (pas de frais d’inscription).

(Source : https://congresgenre19.sciencesconf.org/ )

7 membres de notre Labo Junior présenteront leurs travaux au Congrès de l’Institut du genre

Mardi 27 août, 09h30 – 11h00
Colo d’EFiGiES

Mardi 27 août, 14h00 – 15h30
Atelier 8 (Salle 401) Contracepté·e·s : émancipé·e·s ?
Modération : Le Guen Mireille

    • Poncet Lorraine : Interroger les spécificités de l’usage de la contraception dans un échantillon de femmes migrantes sans logement hébergées à l’hôtel social en Ile-de-France
    • Maudet Marion : Religion vs contraception ? Conduites contraceptives et entrée dans la sexualité chez les catholiques et les musulman·e·s en France
    • Claro Mona : Contraception et injonction à la maternité en Russie. Deux générations de jeunes femmes face aux normes de genre et d’âge (années 1970-années 2010)
    • Rouzaud-Cornabas MylèneLa critique féministe de la contraception orale est-elle impossible en France ?

Mercredi 28 août, 09h00 – 10h30
Atelier 12  (Salle 507) : Enjeux localisés de la gouvernance internationale

    • Pannetier Julie, Le Guen Mireille, Schantz Inguenault Clémence : Les indices internationaux d’inégalités de genre : une vision située des rapports sociaux de sexes ?

Jeudi 29 août, 09h00 – 10h30
Atelier 45 (Salle 402) : La régulation du travail procréatif : aux confins de l’émancipation des femmes ?

    • Mathieu Marie & Thomé Cécile : Avorter et se contracepter : le travail des femmes pour leur autonomie sexuelle et procréative

Jeudi 29 août, 11h00 – 12h30
Atelier 29  (Salle 502) : Usages et appropriations des dispositifs numériques

    • Tisserand Marion : Contraceptions naturelles 2.0. Quand le numérique et la nature libèrent un imaginaire du corps

Vendredi 30 août, 09h00 – 10h30
Atelier 53/2  (Salle 406) : Reproduction et émancipation: approches croisées. 2. S’émanciper de/par la médecine

    • Millepied Anne-Charlotte : S’émanciper de la tutelle médicale ? Négociations du pouvoir médical dans le quotidien de l’endométriose

Atelier 70 (Salle 401) : Genre, sexualités et VIH : questionner l’émancipation au prisme des enjeux de santé

    • Becquet Valentine & Larmarange Joseph : La santé des travailleuses du sexe en Afrique subsaharienne : une population toujours exposée au VIH et soumise à de multiples vulnérabilités

Nouvelle vidéo

alexAlexandra Roux, doctorante à l’EHESS et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, retrace « L’histoire de la contraception » dans une vidéo disponible en clquant sur l’image.

Vous pouvez également regarder la viédo sur le « Contexte de la contraception en France » présenté par Solène Vigoureux, gynécologue et épidémiologiste.


Journée d’étude

affiche a3-2Julie Ancian et Mireille Le Guen, toutes deux membres du laboratoire junior Contraception&Genre, participeront à une journée d’étude à Perpignan et intitulée « De l’invisible au visible, mobilités transfrontalières et IVG » et organisée par Sophie Avarguez et Aude Harlé.

Toutes les informations ici

Inscription par mail avant le vendredi 29 mai 2019 : marion.vernay@irtsperpignan.fr


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

Avec le soutien de la Cité du Genre

« Vasectomie et masculinités »

11 juin 2019 de 9h30 à 12h30
Ined
133, boulevard Davout- Paris 20e
salle 42

Elodie Serna,  docteure en histoire contemporaine, chercheuse associée à l’IRHIS (Lille 3), et Emma Tillich, doctorante à l’EHESS, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Nouvelle émission

Marion Tisserand, diplômée du master genre de l’Université Lyon 2 et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, est intervenue lors de l’émission de Numerama intitulée « Peut-on faire confiance aux apps contraceptives ? ».
Réécouter l’émission ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Arrêter la pilule »

26 février 2019 de 9h30 à 12h30
Ined
133, boulevard Davout- Paris 20e
salle Sauvy

Juliette Pitisci, journaliste à la RTBF, et Marion Tisserand, diplômée du master genre de l’Université Lyon 2, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Les membres du Laboratoire Junior Contraception&Genre sont heureu·ses·x d’accueillir trois nouvelles personnes :

Valentine Becquet, démographe et jeune docteure
Anaïs Cornier, sociologue, masterante à l’EHESS
Marion Tisserand, diplômée du master genre à l’Université Lyon 2

Nous leur souhaitons la bienvenue !


Les membres du Laboratoire Junior Contraception&Genre s’associent au membres du bureau de l’association EFiGiES contre la hausse des frais d’inscription à l’Université des étudiant·e·s étrangèr·e·s extra-communautaires

Ci-dessous le communiqué de l’association EFiGiES à laquelle le laboratoire junior est rattaché :

EFiGiES contre a hausse des frais d’inscription des étudiant-e-s étrangèr-e-s hors UE

Le 19 novembre 2018, le Premier Ministre Edouard Philippe a annoncé une hausse des frais d’inscription pour les étudiant-e-s étranger-e-s : 2770 euros en Licence, 3770 en Master et Doctorat. Mesure pour le moins contradictoire puisqu’elle aurait pour objectif d’augmenter le nombre d’étudiant-e-s étranger-e-s extra-européen-ne-s en France. En tant qu’association de jeunes chercheur-se-s, EFiGiES souhaite faire part de son indignation face à une réforme à la fois injuste et précarisante, qui va à l’encontre des valeurs portées par l’association.

La mesure ne concerne pas les étudiant-e-s de l’Union Européenne qui bénéficient d’accords, ce sont les extra-européen-ne-s non résident-e-s en France qui sont visé-e-s par cette réforme. C’est donc une nouvelle discrimination liée à la nationalité des personnes qui est institutionnalisée par cette réforme. Pour justifier cette mesure, le gouvernement dit vouloir favoriser la venue en France d’étudiant-e-s de pays émergents, mais dans le même mouvement il pénalise les étudiant-e-s les moins aisé-e-s, engendrant ainsi des inégalités qui n’ont pas lieu d’être dans un système qui, il n’y a pas si longtemps, se targuait d’encourager l’égalité des chances. Les étudiant-e-s étranger-e-s de milieux les plus modestes seront donc pénalisé-e-s, et en premier lieu les étudiant-e-s issu-e-s du continent africain qui représentent 45% des étudiant-e-s étranger-e-s en France. Cette mesure, comme toute autre forme de discrimination, engendre donc un tri de plus parmi les étudiant-e-s, générant des inégalités d’accès aux ressources scolaires et, in fine, économiques .Par ailleurs, il s’agit d’un coup porté au maintien d’une francophonie universitaire et scientifique alors même que le président présentait en mars 2018 son grand plan pour la francophonie. L’augmentation des bourses annoncée par le gouvernement ne suffira pas à compenser les inégalités d’accès à l’enseignement supérieur que crée cette mesure. Enfin, cette réforme augure une augmentation générale des frais d’inscription pour les étudiant-e-s en France, qu’elles et ils soient étranger-e-s ou de nationalité française. L’État se défausse ainsi de ses responsabilités et prépare le transfert du financement de l’université, déjà exsangue, sur les étudiant-e-s.

EFiGiES s’oppose à l’augmentation des frais d’inscription dans l’enseignement supérieur pour les étudiant-e-s étrangèr-e-s, quel que soit leur niveau d’études. Ces étudiant-e-s sont en grande majorité déjà dans des situations précaires L’association tient également à préciser que l’inscription au doctorat devrait être gratuite, dans la mesure où un-e doctorant-e est un-e travailleur-se et ne devrait pas avoir à payer pour pouvoir travailler. À ce titre, il est ubuesque que les doctorant-e-s étrangèr-e-s voulant s’inscrire en doctorat l’année prochaine aient à payer presque 4000€ pour pouvoir ce faire.

À celles et ceux qui prétextent que la mesure est juste car les parents des étudiant-e-s internationaux ne paient pas d’impôts en France (ce qui ouvre d’ores et déjà la voie vers une justification de l’augmentation des frais d’inscription à l’université à d’autres publics), l’association EFiGiES souhaite rappeler que la principale ressource de l’État est la TVA et que les étudiant-e-s étrangèr-e-s rapportent tous les ans 1,6 milliards d’euros à la France.

Pour toutes ces raisons, les membres du bureau d’EFiGiES appellent à rejoindre les mobilisations en cours contre la hausse des frais d’inscription pour les étudiant-e-s étrangèr-e-s.

Le bureau d’EFiGiES


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Les usages dérivés de la contraception »

26 novembre 2018 de 9h30 à 12h30
EHESS
105, boulevard Raspail- Paris 6e
salle 2

Emma Tillich, doctorante à l’EHESP, et Anne-Charlotte Millepied, doctorante à l’EHESS et à l’Unige, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Contraception et avortement. Injonctions et affects »

30 octobre 2018 de 9h30 – 12h30
Ined
133, boulevard Davout – Paris 20e
salle 111 (1er étage)

Laurine Thizy, doctorante à l’université Paris 8, et Julie Ancian, doctorante à l’EHESS, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Nouvelle publication

Cécile Thomé, doctorante à l’EHESS, et Mylène Rouzaud-Cornabas, doctorante à l’Université Paris-Sud, toutes deux membres du laboratoire junior Contraception&Genre, ont publié un article intitulé
« Comment ne pas faire d’enfants ? La contraception, un travail féminin invisibilisé »
dans la revue Recherches anthropologiques et sociologiques.

L’article est disponible ici.

Le numéro de la revue consacré au travail procréatif, et coordonné par Marie Mathieu et Lucile Ruault, est disponible ici.


Le Laboratoire Junior au CIRFF !

Les membres de Laboratoire Junior Contraception&Genre seront présent.e.s au Congrès international de Recherches Féministes dans la Francophonie (CIRFF)

Mardi 28 août, 14h00-15h20
Colloque des étudiant·e·s , doctorant·e·s et jeunes chercheur·e·s en études Féministes, Genre et Sexualités de l’association EFIGIES
Leslie Fonquerne et Cécile Thomé présenterons le laboratoire Junior Contraception&Genre

Mercredi 29 août, 15h40-17h00
Débat : Peut-on être féministe et anti-pilule ?
Organisé par Mirelle Le Guen, Cécile Thomé, Anne-Charlotte Millepied et Emma Tillich
Présidé par Nathalie Bajos (Inserm-Cesp)

Photo : Michel Bozonphoto_site

Les membres du Laboratoire Junior Contraception&Genre sont heureu·ses·x d’accueillir deux nouvelles personnes :

Anne-Charlotte Millepied, sociologue, doctorante à l’EHESS et à l’Unige
Emma Tillich, sociologue, masterante à l’EHESS

Nous leur souhaitons la bienvenue !


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Contraception et entrée dans la sexualité »

20 juin 2018 de 9h30 à 12h30
Ined
133, boulevard Davout – Paris 20e
salle Sauvy

Yaelle Amsellem-Maingy, chercheuse à l’Injep, et Mona Claro, doctorante à l’EHESS, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Prochaine séance de séminaire du laboratoire junior Contraception&Genre

« Le marché de la contraception en France, avant et après sa légalisation »

23 mars 2018 de 9h00 – 12h00
Université Paris Descartes
45, rue des Saints-Pères – Paris 6e
salle des thèses

Cyrille Jean, doctorant à Sciences Po, et Alexandra Roux, doctorante à l’EHESS, présenteront leurs travaux.

Entrée libre, inscription obligatoire par mail à contraception.genre@gmail.com

Plus d’infos ici.


Intervention

Mireille Le Guen, doctorante à l’Université Paris Sud et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, était au stand de l’Ined au Salon du Livre Paris pour parler de notre article publié dans Populations & Sociétés « Cinquante ans de contraception légale en France : diffusion, médicalisation, féminisation ».

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Nouvelle publication

Leslie Fonquerne, doctorante à l’UT2J et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a co-publié une note de blog intitulée « Mémoires et actualités de la contraception et de l’avortement en France » dans la revue en ligne Mondes sociaux.

L’article est disponible ici.


Le laboratoire junior Contraception&Genre recrute !

Vous êtes masterant.e, doctorant.e, post-docorant.e ou jeune chercheur/se.
Vous travaillez sur des questions relatives à la contraception dans une perspective de genre.
Vous souhaitez échanger sur votre recherche avec d’autres personnes travaillant sur la contraception, dans une ambiance bienveillante.
Rejoignez le laboratoire junior Contraception&Genre !
Envoyez-nous un mail ici en nous précisant votre statut (master, doc, post-doc,…) et votre sujet de recherche et nous vous recontacterons.


Le laboratoire junior Contraception&Genre dans les médias

Alexandra Roux, doctorante à l’EHESS, et Mylène Rouzaud-Cornabas, doctorante à l’EDSP-Paris Sud, toutes deux membres du laboratoire junior Contraception&Genre, sont intervenues dans l’émission LSD, La Série Documentaire sur France Culture intitulée : Le sexe comme objet – Savoirs et sexualité (3/4) : Le petit comprimé qui a changé la face du monde, une histoire scientifique de la pilule.
Pour écouter ou ré-écouter l’émission c’est ici.

Nous vous invitons également à écouter les autres émissions sur cette thématique :

Le sexe comme objet – Savoirs et sexualité (1/4) : A quoi servent les Porn studies ? Le porno à bras le corps
Le sexe comme objet – Savoirs et sexualité (2/4) : Enquêter sur les pratiques sexuelles, une aventure scientifique au temps du sida
Le sexe comme objet – Savoirs et sexualité (4/4) : Sexe, mensonges et grandes questions : quelques séances d’éducation sexuelle au lycée


Le laboratoire junior Contraception&Genre dans les médias

Cécile Thomé, doctorante à l’EHESS et membre du laboratoire junior Contraception&Genre était une des invitées des Matins de France Culture du 28 décembre 2017 pour parler des 50 ans de la légalisation de la contraception.
Pour écouter ou ré-écouter son intervention c’est ici et .

Les autres médias qui parlent de nos travaux :


Le colloque « Genre et Contraception : quelles (r)évolutions ? » s’est achevée sur un succès !
 
Merci à tout.e.s les participant.e.s d’avoir répondu à notre appel.
 
A très vite !
 
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Nouvelle publication

Pour célébrer le cinquantième anniversaire de la loi Neuwirth (légalisation de la contraception en France), les membres du laboratoire junior Contraception&Genre retracent dans un article pour Populations & Sociétés l’histoire de la contraception en France, et comparent la situation française à celle observée ailleurs dans le monde.

L’article de Population & Sociétés disponible ici.


Le programme du colloque « Genre et contraception : quelles (r)évolutions » est disponible !

Invitées en sessions plénières :

Elizabeth Watkins (Université de Californie, États-Unis d’Amérique)
Nelly Oudshoorn (Université de Twente, Pays-Bas)
Françoise Vergès (Collège d’études mondiales, France)
Diana Greene Foster (Université de Californie, États-Unis d’Amérique)

Voir le programme

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Le laboratoire junior Contraception&Genre dans la presse

A l’occasion de la journée mondiale de la vasectomie (13 novembre), Cécile Ventola, chercheuse à l’Ined et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, parle dans le journal Marianne des raisons du faible recours à cette méthode en France.
L’article de Marianne disponible ici.

Alexandra Roux, doctorante à l’EHESS et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a été interviewée par Alternatives économiques au sujet de son article « Des experts aux logiques profanes : les prescripteurs de contraception en France » co-écrit avec Cécile Ventola et Nathalie Bajos.
L’article d’Alternatives économiques disponible ici.


Dernières publications

  • Le Guen Mireille, Roux Alexandra, Rouzaud-Cornabas Mylène, Fonquerne Leslie, Thomé Cécile, Ventola Cécile pour le Laboratoire junior Contraception&Genre, 2017, « Cinquante ans de contraception légale en France : diffusion, médicalisation, féminisation », Population et Sociétés, 549, p. 1‑4.
  • Roux Alexandra, Ventola Cécile, Bajos Nathalie, 2017, « Des experts aux logiques profanes : les prescripteurs de contraception en France », Sciences sociales et santé, 35(3), p. 41‑70.
  • Rahib Delphine, Le Guen Mireille, Lydié Nathalie, 2017, « Contraception. Quatre ans après la crise de la pilule, les évolutions se poursuivent », Baromètre Santé 2016, p. 1‑8.

Journée Mondiale de la Contraception

Tribune parue dans Le Monde du 27 septembre 2017 à l’occasion de la Journée Mondiale de la Contraception

« Au lieu de condamner la pilule, considérons la parole des femmes »

Ce mois-ci, la sortie du livre de Sabrina Debusquat J’arrête la pilule a relancé le débat sur les « dangers » de la contraception hormonale, et plus particulièrement de la pilule. Il faut bien sûr se réjouir que des femmes se réapproprient une parole sur leur santé sexuelle et reproductive qui est trop souvent confisquée par des médecins, et que cette parole soit relayée dans la presse grand public, comme c’est le cas ici ou encore, récemment, au sujet des violences gynécologiques et obstétricales. La France se distingue de beaucoup d’autres pays par un modèle contraceptif centré sur la pilule, et il est salutaire de se poser des questions à ce sujet. Lire la suite.

Cécile Ventola, chercheuse à l’Ined et membre du laboratoire junior Contraception&Genre, a répondu aux questions des internautes sur le site du Monde.


Présentation du laboratoire junior Contraception&Genre

Les membres du laboratoire junior

Colloque 2017 « Genre et contraception : quelles (r)évolutions »